Riche de près de 200 œuvres – sculptures, gravures, dessins et peintures –, l’exposition retrace chronologiquement la trajectoire artistique de Germaine Richier et éclaire les grands thèmes qui nourrissent sa pratique sculpturale (l’humain, l’animal, les mythes…). Formée à la tradition d’Auguste Rodin et d’Antoine Bourdelle, Germaine Richier s’affirme comme profondément originale et radicale en à peine plus de 25 ans, des années 1930 à sa disparition précoce en 1959 : un chaînon entre Rodin et le premier César dans l’histoire de la sculpture moderne.

En compagnie de Ariane Coulondre, chargée de recherche au Centre Pompidou et commissaire de l'exposition

Germaine Richier

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Le travail de Laure Tiberghien s’inscrit dans un courant d’expérimentation que l'on peut faire remonter au début de l’histoire du médium pour en souligner le caractère inventif mais qui n’a toutefois rien à voir avec une quelconque fascination pour la technologie comme telle. On sait bien qu’en ce domaine cette dernière n’a d'intérêt qu’à proportion de ce qu’elle permet de dire. Les premiers inventeurs, à partir d’hypothèses plus audacieuses les unes que les autres, parvenaient à des combinaisons surprenantes et à des résultats restés souvent inégalés sur le plan plastique.

En compagnie de Philippe Bettinelli, conservateur au service des nouveaux médias

Perspective // Atelier de Laure Thiberghien

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Près d’une centaine d’œuvres, issues de collections privées et publiques sont réunies pour faire (re)découvrir l’un des premiers mouvements post-modernes fondé sur la remise en cause de l’abstraction et sur le retour à la figure. Sous le commissariat de Patrick Mauriès, l’exposition met à l’honneur les artistes ayant participé à ce courant, tels que le français Christian Bérard (1902-1949), les russes Pavel Tchelitchew (1898-1957), Eugène (1899-1972) et Leonid Berman (1898-1976) et le hollandais Kristians Tonny (1907-1977).

En compagnie de Patrick Mauriès, commissaire de l'exposition

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