En compagnie de Sarah Ligner, commissaire de l'exposition
Visite
3 octobre
La réservation est fermée
À travers une œuvre immersive et sonore, l'artiste franco-gabonaise Myriam Mihindou crée une résonance entre la culture punu et la collection d’instruments de musique conservée au musée du Quai Branly. Plus particulièrement, cette installation fait référence aux pleureuses punus, dont Myriam Mihindou fait elle-même partie. Rendre hommage aux pratiques ancestrales de ces accompagnatrices d’âmes défuntes ou endeuillées, conduit alors l’artiste à réinterroger les rites funéraires et les mythes qui les accompagnent. Qualifiée de « totale, performative, organique et corporelle », l’installation met en évidence la vertu cathartique des chants et des larmes des femmes punus sur le corps social et individuel.