La pratique protéiforme de Cyprien Gaillard englobe la photographie, la performance et la vidéo, mais également l’installation et l’intervention dans l’espace public. Sa démarche, que l’artiste décrit lui-même comme une forme de « vandalisme », interroge avec humour et nostalgie les traces que l’être humain laisse dans la nature, notamment par l’architecture, ainsi que leur résistance au passage du temps.